conséquences négatives de son exploitation
Une realité qui laisse perplexe aux hommes sensibles à l'humanité, c'est le constat de crimes realisés deavant les yeux de tout le monde que meme la plus grande juridiction internationale ne sait condonner ni denoncer; c'est le fait de voir une richesse qui genere la pauvreté de propretaire, c'est surtout quand on privilege les interets materiels au lieux de l'Homme et la nature.
Dans les lignes qui suivent,nous decrivons en detail comment la premiere matiere premiere du monde, appellé " L'OR NOIR" engendre la misere et conflit dans les pays qui possedent cette resource naturelle. il y a lieux donc de dire " Notre malediction est le fait que le createur a mieux ces substances sous notre sol"
1. Pauvreté due aux conséquences environnementales du pétrole
a) Dans les pays producteurs
Le Delta du Niger est un bon exemple de région où les problèmes environnementaux dus au pétrole sont source de pauvreté pour les populations vivant dans un pays producteur.
Le Delta du Niger est une région contenant d’importantes réserves d’hydrocarbures, exploitées depuis des dizaines d'années par le gouvernement du Nigeria et des compagnies pétrolières multinationales (Shell étant le principal exploitant).
Pourtant, depuis des décennies, l’industrie pétrolière pollue, dégradant fortement l’environnement.
Les compagnies pétrolières profitent de la faiblesse du système réglementaire nigérien (Le Nigeria dispose de lois et de règlements demandant à ce que les compagnies répondent aux normes internationales de « bonnes pratiques en matière d'exploitation pétrolière » et d'autres outils législatifs et réglementaires qui protègent l'environnement, mais cette législation est peu appliquée. Les agences gouvernementales chargées de la faire respecter sont inefficaces et sont, dans certains cas, prises dans des conflits d'intérêts), ne prenant pas desmesures suffisantes pour éviter les dégâts environnementaux et souvent ne se préoccupent pas des conséquences dévastatrices de leurs pratiques sur la vie des habitants.
Photo : Enfants jouant près d'un déversement d'hydrocarbures dans l'État de Bayelsa (Nigeria)
Photo : Enfants jouant près d'un déversement d'hydrocarbures dans l'État de Bayelsa (Nigeria)
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Le pétrole pollue essentiellement par la combustion des torchères de gaz à ciel ouvert et les déversements dus à la corrosion des oléoducs, à un mauvais entretien des infrastructures, à des fuites, à des erreurs humaines, ou sont la conséquence d'actes délibérés de vandalisme, de vol de pétrole ou de sabotage. Des centaines de fuites surviennent chaque année. D'après le PNUD, plus de 6 800 déversements ont été enregistrés entre 1976 et 2001. Selon l'Agence nationale pour la détection et la réaction aux déversements accidentels de pétrole, quelque 2 000 sites au moins avaient besoin d'être nettoyés en raison d'une pollution liée aux hydrocarbures.
Photo : Pollution de l'eau causée par un rejet d'hydrocarbures
à la mi-2007, à proximité du village de Goi (pays ogoni, Nigeria)
à la mi-2007, à proximité du village de Goi (pays ogoni, Nigeria)
Le déversement de déchets et la combustion de torchères présentent un risque pour la santé des habitants, augmentant les épidémies et maladies respiratoires et cancers et donc la pauvreté.
Les déversements d'hydrocarbures et de déchets nuisent gravement aux terres agricoles. À long terme, ils rendent les sols moins fertiles et font baisser la productivité, dans certains cas pour des dizaines d'années. Bien souvent, les effets à long terme détruisent la seule source de subsistance d'une famille.
La pollution par le pétrole tue les poissons, leurs sources de nourriture et leurs œufs, et elle compromet leur capacité à se reproduire, entraînant des dégâts à la fois à court et à long terme. Elle endommage également le matériel de pêche.
Or le delta du Niger représente l'un des dix principaux écosystèmes marins de zone côtière humide au monde et il abrite quelque 31 millions de personnes et « Les moyens de subsistance de plus de 60 % des gens qui vivent dans cette région proviennent de leur environnement naturel, a déclaré Audrey Gaughran d'Amnesty International. Pourtant, la pollution générée par l'industrie pétrolière détruit les ressources vitales dont ils dépendent. »
La pollution par le pétrole a donc porté atteinte aux moyens de subsistance essentiels de la population : la pauvreté s’accroît, avec des terres de moins en moins fertiles, des eaux toujours plus polluées contraignant de nombreuses personnes vivant dans ces zones à utiliser une eau polluée pour boire, cuisiner et se laver ainsi que de consommer du poisson contaminé. Les conditions de vie sont donc de plus en plus précaires et dangereuses pour la santé des habitants.
Photo : Les rivières et les ruisseaux du delta du Niger ont été largement pollués par les activités pétrolières. Pourtant, de nombreuses personnes continuent de les utiliser pour un usage domestique notamment pour se laver, faire la lessive, et comme source d’eau potable.
De nombreux pays producteurs du Moyen-Orient et d’Afrique sont caractérisés par des déficits de gouvernance en matière économique et politique dont les compagnies pétrolières multinationales profitent et qui aggravent les problèmes environnementaux dus au pétrole puisque les compagnies ne respectent pas les règlements sur la pollution et les dépollutions à effectuer en cas de déversements accidentels. Les déversements de pétrole avec le dégagement de gaz toxiques et la combustion des torchères peuvent avoir de graves conséquences sur les écosystèmes et la biodiversité dans ces régions mais aussi sur les populations qui y vivent, les appauvrissant par les maladies dues à cette pollution ou par les conditions de vie désastreuses, comme ne pas avoir accès à l’eau potable ou consommer des produits contaminés. Les conséquences environnementales du pétrole entraînent donc souvent la pauvreté des populations des pays producteurs.
b) Ailleurs
La pollution par le pétrole de zones peut également appauvrir des personnes en augmentant le chômage car les activités économiques de ces zones sont bloquées et les postes donc supprimés.
Des eaux côtières inaccessibles aux pêcheurs ou aux plaisanciers, des plages interdites aux usagers, conduisent à une baisse d’activité des restaurants, des cafés, de multiples commerces qui réduisent eux-mêmes leurs achats de produits consommables. Les fournisseurs de glace, de carburant pour la pêche, d’aliments pour l’aquaculture se retrouvent sans clients et les acheteurs des criées se retrouvent sans produits.
Photo : Une dépense et une perte de revenus : le blocage d’un espace portuaire par la pose d’un barrage deconfinement.
Derrière les opérateurs économiques directement touchés par l’impossibilité matérielle de poursuivre leur activité ou de commercialiser leurs produits, toute une chaîne de fournisseurs et de clients se trouve elle-même plus ou moins intensément affectée, selon l’importance de son revenu lié aux activités interrompues par la pollution. Des salaires étant suspendus, la consommation locale diminue, des cotisations sociales ne sont plus payées, des indemnités de chômage doivent être versées.
Ce sont autant d’effets secondaires que les victimes demandent à voir prendre en compte dans l’assiette des indemnisations.
Ce sont autant d’effets secondaires que les victimes demandent à voir prendre en compte dans l’assiette des indemnisations.
Par ailleurs, les consommateurs des produits de la mer, du tourisme et des autres ressources de la zone touchée par la pollution se tournent tout naturellement vers d’autres zones pour satisfaire leurs besoins. Celles-ci font très logiquement de leur mieux pour satisfaire ces nouveaux clients et les fidéliser. Il va donc falloir, une fois la situation environnementale rétablie dans la zone affectée, engager des dépenses de reconquête de la clientèle perdue. Bien juger de ces dépenses n’est pas facile, d’autant plus que la perte de clientèle s’étend souvent au-delà de la zone effectivement affectée par la pollution.
Photo : Une dépense : le coût de protection des tables
d’un parc ostréicole par la pose de filets en plastique à mailles fines.
Le pétrole joue également un rôle dans le réchauffement climatique : l’émission de dioxyde de carbonerésultant de sa combustion comme carburant participe au réchauffement de la planète qui peut contribuer à appauvrir les populations de certains pays (avec les sécheresses ou les îles submergées par exemple).
Les marées noires (comme celles de l’Erika et du Prestige en 1999 et 2002), c'est-à-dire l’arrivée sur le rivaged'hydrocarbures déversés accidentellement par un navirepeuvent avoir de graves conséquences sur les régions touchées. Les écosystèmes et la biodiversité de ces régions sont menacés, ce qui appauvrie les populations vivant du commerce et/ou de la consommation des espèces présentes dans ces régions. Les activités touristiques ou portuaires peuvent être bloqués, ce qui peut également appauvrir la région.
Par exemple, en 2002, le Prestige a répandu 77 000 tonnes de fuel lourd qui a fortement pollué les côtes européennes. La Galice, région particulièrement riche en biodiversité marine, a été dévastée. Plus de 5000 familles ont vu s’envoler les revenus qu’elles pensaient tirer de la vente des coquillages et crustacés abondants en cette période de l’année.
Diagramme : Evolution annuelle des déversements d'hydrocarbures
Diagramme : Evolution annuelle des déversements d'hydrocarbures
Source : ITOPF (International tanker owners pollution federation limited)
A Yenagoa (Nigeria), la population manque d’emplois et de services sociaux élémentaires : des décennies de marées noires auxquelles s’ajoute le brûlement constant de gaz nécessaire pour l’extraction du pétrole brut ont provoqué des dégâts énormes qui ont appauvris les résidents. La terre cultivable est rendue inutile tandis que les rivières et des cours d’eau sont maintenant stériles. La plupart des gens de Yenagoa vivent dans des huttes construites en terre. Certains résident à seulement quelques pieds des puits de pétrole. Mais ils manquent d’électricité et de toilettes à l’intérieur de leurs maisons. Ils n’ont pas d’hôpitaux, pas d’eau de robinet, pas d’écoles. Et il y a aussi le chômage.
La pollution due au pétrole appauvrit souvent les populations des pays producteurs. Mais la pollution due par exemple aux marées noires touche d’autres pays, n’importe quel pays selon l’endroit où le navire a sombré. A long terme, le réchauffement climatique, dont le pétrole est une des causes va aussi appauvrir des régions et donc leur population.
Pauvreté due aux inégalités sociales créées par le pétrole
a) Dans les pays producteurs du pétrole
Dans les pays producteurs de pétrole, si la pollution par le pétrole appauvrit les habitants, les inégalités sociales crées par le pétrole joue un rôle encore plus important dans cet appauvrissement. L’argent du pétrole ne profite pas à la population, qui ne peut donc remédier aux problèmes environnementaux. Celle-ci est souvent très pauvre, ce qui contraste avec la richesse que devrait apportait le pétrole. L’argent rapporté par le pétrole est mal réparti, créant de grandes inégalités sociales dans ces pays où la majorité de la population vit dans des conditions très précaires.
Par exemple, au Niger, la pauvreté de la population, causée en partie par la pollution par le pétrole, est également due à des inégalités sociales, à une mauvaise répartition de l’argent rapporté par le pétrole.
Avec une production quotidienne de 2,4 millions de barils par jour en 2005, le Nigeria est le premier producteur pétrolier africain et le 11ème au monde. En 2005, les revenus issus de l’exploitation de l’or noir ont ainsi rapporté au gouvernement central 37,7 milliards de dollars, soit plus de 80% des revenus de l’Etat et environ 95% de ses exportations et le pétrole a rapporté 600 milliards de dollars (environ 430 milliards d'euro) depuis les années 1960. Malgré cette rente pétrolière, le pays est l'un des plus pauvres de la planète. 66% de la population vit sous le seuil de pauvreté et le PNB par habitant est en chute libre depuis 1970. Les inégalités dans le pays sont accentuées par les disparités régionales de la répartition de la manne pétrolière, notamment en faveur de Lagos, et par la corruption qui touche tous les niveaux de l’Etat. Malgré cela, le delta du Niger ne reçoit que 13% des revenus pétroliers terrestres du pays, un pourcentage qui est loin de pouvoir satisfaire les besoins des habitants d’une région dévastée par des décennies de négligences environnementales et économiques.
La population vit donc dans de conditions désastreuses, sans eau potable, mangeant des poissons contaminés, vivant dans des habitations précaires avec des épidémies et maladies ne faisant qu’augmenter, n’ayant accès qu’à des moyens de transport peu performants.
Les représailles empêchent les populations de se rebeller : au Nigéria, le gouvernement a recours à des représailles violentes et collectives. Malgré cela, la population tente d’obtenir des changements par des sabotages, des vols de pétrole…, ce qui ne fait qu’aggraver la situation.
A Odi, une communauté adjacente à un puits construit en 1958, les villageois ont réclamé des services de base comme l’eau potable de robinet, l’électricité, et les écoles. Les représailles ont été importantes : des hommes militaires en uniforme ont attrapé 15 jeunes gens pendant qu’ils rentraient chez eux à pieds en provenance d’un village au milieu de l’après-midi. Les jeunes gens ont été frappés, torturés, et emprisonnés, et ce comme une mise en garde aux autres gens du village. Pour environ une semaine, les jeunes ont vécu le calvaire dans une prison à quelques miles du lieu. Leurs membres de familles ont été forcés de marcher pendant une journée et demie pour les voir ou leur apporter la nourriture dans cette prison misérable. Tout cela pour avoir réclamer des droits élémentaires.
Pendant que les compagnies pétrolières enregistrent des profits et que le prix du pétrole monte en flèche vers près de 65 dollars US par baril, les communautés africaines ostensiblement bénies par la malédiction du pétrole languissent dans la misère et la saleté. En effet, sans terre exploitable ou conduits d’eau, beaucoup de gens au Nigeria disent qu’ils se trouvent dans un état pire que celui dans lequel se trouvaient leurs grands- parents avant que le pétrole ne fut découvert.
Pendant que les compagnies pétrolières enregistrent des profits et que le prix du pétrole monte en flèche vers près de 65 dollars US par baril, les communautés africaines ostensiblement bénies par la malédiction du pétrole languissent dans la misère et la saleté. En effet, sans terre exploitable ou conduits d’eau, beaucoup de gens au Nigeria disent qu’ils se trouvent dans un état pire que celui dans lequel se trouvaient leurs grands- parents avant que le pétrole ne fut découvert.
L’argent du pétrole ne profite pas aux populations locales qui ne peuvent d’ailleurs réclamer leurs droits à cause des représailles violentes.
Beaucoup de pays riches, regorgeant de ressources naturelles comme le pétrole ont une population très pauvre, vivant dans la pauvreté et ayant une mortalité infantile très importante. Le pétrole crée la corruption dans les pays producteurs, l’état essaie de justifier ses dépenses (par exemple, en Angola, où la richesse est mal répartie et ne profite qu’à certains, le gouvernement affirme utiliser cet argent pour reconstruire le pays, rembourser des dettes et récompenser des soldats, dont en réalité, seule une petite partie l’a réellement été) mais ces justifications sont contestées. Les inégalités sont dues à une mauvaise répartition et gestion des richesses.
Un autre exemple montrant que les populations résidents dans les pays producteurs sont victimes d’inégalités sociales est Richard Betalum, un paysan qui aurait dû devenir riche. Du pétrole a été trouvé dans son champ. La compagnie pétrolière américaine Esso y a creusé un puits. Chaque jour, trois cents barils de brut en sont extraits. A 140 dollars le baril sur le marché mondial, cela aurait pu lui rapporté 40 000 dollars par jour.
Mais la découverte de pétrole dans son champ a plutôt été une malédiction pour cet homme. Son champ a été amputé de moitié afin que l'exploitation puisse se faire. Il a reçu l'équivalent de 1500 euros en guise de compensation. "Esso a trouvé du pétrole dans mon champ mais je n'y gagne rien, a-t-il indiqué. Le gouvernement m'a intimé l'ordre de céder la moitié de mon champ. Avec les compensations, j'ai pu mettre un toit en tôle sur ma maison, et acheter deux bœufs. A présent, les bœufs ont été volés, j'ai perdu la moitié de mon champ, et j'ai du mal à nourrir ma famille", indique Richard Betalum.
Mais la découverte de pétrole dans son champ a plutôt été une malédiction pour cet homme. Son champ a été amputé de moitié afin que l'exploitation puisse se faire. Il a reçu l'équivalent de 1500 euros en guise de compensation. "Esso a trouvé du pétrole dans mon champ mais je n'y gagne rien, a-t-il indiqué. Le gouvernement m'a intimé l'ordre de céder la moitié de mon champ. Avec les compensations, j'ai pu mettre un toit en tôle sur ma maison, et acheter deux bœufs. A présent, les bœufs ont été volés, j'ai perdu la moitié de mon champ, et j'ai du mal à nourrir ma famille", indique Richard Betalum.
Cet exemple montre bien les inégalités dans les pays producteurs : l’argent du pétrole ne revient pas à la population, même quand le pétrole à été trouvé chez un habitant. Dans ces pays, les plus forts décident et les populations doivent vivre avec, sous peine de représailles. Le pétrole enrichit fortement une petite partie de la population de ces pays, alors que la majorité de la population vit dans la misère et la pauvreté, sans avoir accès à leurs besoins élémentaires à savoir se nourrir, se vêtir, se loger, s’instruire…
b) Inégalités entre pays riches et pays pauvres
Mais les inégalités sociales crées par le pétrole existent également à l’échelle mondiale, entre pays riches et pays pauvres.
L’Amérique du Nord consomme 30% des énergies fossiles et l’Europe de l’Ouest en consomment 18%. Ce qui représente presque la moitié de la consommation mondiale pour seulement 10% de la population de la planète. La Chine et les pays émergents voient leur consommation beaucoup augmentée, mais celle-ci reste toujours très inférieure à celle des pays riches : Par exemple, en France, une personne sur deux a une voiture ; en Chine, c’est une personne sur quatre-vingt.
Les pays riches puisent chez les pays du Sud car ils sont incapables de produire toute l’énergie qu’ils consomment, alors que les pays du Sud en manquent souvent cruellement.
Les pays riches consomment trop d’énergie, et souvent inutilement. Par exemple, en France, la population a augmenté de 15% mais les déplacements en voiture ont augmenté de 60%. Dans ces pays, ce modèle économique énergivore est vanté, voire imposé. Mais ce modèle économique ne peut profiter qu’à une minorité et est une menace majeure pour les droits élémentaires des personnes et des peuples des pays pauvres. L’énergie est un besoin pour vivre mais un tiers de la population mondiale n’a pas accès à des services de base nécessitant l’électricité (éclairage, réfrigération…). Dans les pays en émergence, la consommation d’énergie est 10 fois plus faible que dans les pays industrialisés.
Le pétrole n’est pas réparti également entre les pays : les pays riches en profitent plus, même s’ils ne sont pas producteurs : la plus grande partie du pétrole extrait va vers les pays riches, alors que la population de certains pays producteurs n’a même pas accès à l’électricité et à des conditions de vie correctes.
- L’Amérique du nord représente 5 % de la population mondiale et 25 % de la consommation mondiale de pétrole.
- L’Europe représente 9 % de la population mondiale et 21 % de la consommation mondiale de pétrole.
- L’Amérique du sud représente 9 % de la population mondiale et 8 % de la consommation mondiale de pétrole.
- L’Afrique représente 16 % de la population mondiale et 3 % de la consommation mondiale de pétrole.
- L’Océanie représente 1 % de la population mondiale et 1 % de la consommation mondiale de pétrole.
- L’Asie représente 60 % de la population mondiale et 35 % de la consommation mondiale de pétrole.
La consommation des différents continents en fonction de leur population montre les inégalités de répartition du pétrole : l’Afrique qui représente 16% de la population mondiale, ne consomme que 3%. Or on constate que l’Afrique est aussi le continent le plus pauvre, qui englobe les pays les plus pauvres et les moins développés. Les inégalités de répartition du pétrole contribuent donc à la pauvreté de certains pays et creuse les écarts de richesse.
Trop de pétrole va aux pays développés d’Amérique du Nord et d’Europe, ce qui augmente la pauvreté dans les pays pauvres qui en manquent.
( Isabelle Kauffman, Caroline Aimé et Adrien Edel)
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